Des films qui font peur !!!

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Sommes allés au ciné hier voir voir le dernier Jessica Alba, remake américain d'un film japonais dans la mouvance The ring, The Grudge.

L'histoire : Aveugle depuis l'age de cinq ans, la jeune et jolie Sydney Wells, sous l'insistance de sa soeur aînée, accepte de se soumettre à une greffe de cornée qui devrait lui permettre de retrouver la vue. L'opération réussit parfaitement, et Sydney doit maintenant s'adapter à sa nouvelle vie, à sa nouvelle perception. Et c'est là qu'elle se rend compte avec angoisse qu'il y a quelque chose qui cloche, elle se retrouve en effet victime d'hallucinations et peut observer des individus que nul ne parvient à voir...

J'avais un petit apriori en entrant dans la salle. Un énième remake américain ... Jessica Alba, actrice jolie mais pas terrible dans son jeu .. Les notes moyennes d'Allociné ... Bref, j'étais pas vraiment dans le truc.
Bon point, j'ai vu les bandes annonces de Rec. et de Funny Games qui sortiront ce mois-ci !

Bon, j'ai pas vu la version japonaise, j'avoue. mais au moins, comme ça, je serais pas tentée de comparer ! La trame n'est pas bien originale mais on entre assez facilement dans l'histoire de Sydney. Un peu mou au début, le rythme s'accélère au fur et à mesure du film, mais un peu trop répétitivement : musique qui fait peur - ombre - cri - réveil - ouf ce n'est qu'un rêve.

Le côté " je vois des gens qui sont morts"  rapelle sans conteste Sixième Sens. Les scènes effrayantes ne le sont en fait pas tant que ça : le principal est suggéré. Les ombres noires sont déja vues ( Ghost ) et leur cri me rapelle la fille aux cheveux noirs de The Grudge.
Le film est plutôt bien fichu dans son genre, mais il n'a pas une grande saveur .. un peu comme Alba finalement, à laquelle on ne parvient jamais à s'identifier.  Ils jouent plus sur la beauté de la jeune fille ( qui arrive à coordonner ses fringues et à se mettre du mascara alors qu'elle voit pas clair ). Et les scènes effrayantes qui ont été rajoutées dans ce film sont toujours basées sur les mêmes recettes américaines pour faire peur : un spectre grimaçant qui nous bondit à la figure dans des hurlements, qui fait davantage sursauter que faire peur.

Bon la qualité technique est là mais il manque quelque chose : de l'humanité un petit peu ? de la passion ? Et que dire de la fin ? minable à souhait !
Bref, je m'attendais à pire mais finalement ça détend  ( c'est pas la visée première d'un film d'horreur ... si ?? )

Je ne suis pas allée voir ce film quand il est sorti, même si tout le monde m'en rabattait les oreilles : c'est vrai qu'en général, quand tout le monde encense un film, je réfléchis à deux fois avant d'y aller. Cette fois-ci j'ai eu raison !

Voici l'histoire : Laura a passé son enfance dans un orphelinat entourée d'autres enfants qu'elle aimait comme ses frères et soeurs. Adulte, elle retourne sur les lieux avec son mari et son fils de sept ans, Simon, avec l'intention de restaurer la vieille maison. La demeure réveille l'imagination de Simon, qui commence à se livrer à d'étranges jeux avec "ses amis"... Troublée, Laura se laisse alors aspirer dans l'univers de Simon, convaincue qu'un mystère longtemps refoulé est tapi dans l'orphelinat...

Les films espagnols horrifiques sont en vogue en ce moment ; mais pour ce qui est de l'orphelinat, quel ennui ! Comment ne pas penser à Sixième sens et à Les autres quand on regarde ce film. Certes l'esthétique et l'ambiance sont bien installés mais je vous avoue que ce sont les seuls points positifs. Le scénario est vu , revu et revu ; aucun rebondissement, on devine la fin à la moitié du film. Interdit aux moins de 12 ans ? Mouais, j'ai eu qu'un seul sursaut alors ça fit peu question frissons ! Le final est attendu et un peu cousu de fil blanc. on e parvient jamais à s'attacher aux personnages ( à part le gamin qui est mignon ), le père est aussi transparent qu'inutile ( superbe scène de bouche à bouche !! ). Il film qui ne marquera ni les esprits, ni le cinéma.

Pas grand chose à dire sur ce film .. je me suis sentie obligée d'en faire la critique pour le bien de ce blog adoré mais franchement, je me fais violence, parce que rien d'y repenser, je m'ennuie.

Voici le pitch : Jennifer Tree est la nouvelle top que s'arrachent les photographes et couturiers new-yorkais.La fille qui fait rêver le grand public... pour le meilleur et pour le pire.Un soir, Jennifer est suivie dans la rue par un homme, qui parvient à la droguer. Elle se réveille dans une cellule préparée à son attention et remplie d'objets personnels volés dans son appartement. Son ravisseur l'oblige à regarder des vidéos de femmes torturées dans cette cellule, avant de la soumettre elle-même jour après jour à d'horribles sévices.Durant son calvaire, Jennifer découvre qu'elle n'est pas seule. Un jeune homme, Gary, est également retenu en captivité dans la pièce voisine. Elle entre en contact avec lui, dans l'espoir de trouver une issue à son cauchemar.

- Violence gratuite qui ne sert à rien ( les yeux et des oreilles dans un mixer ) pour apâter les amateurs de Hostel et Saw
- Une "héroïne" blonde idiote, mais très, très bête qui fait confiance à n'importe qui et qui ne chope même pas le téléphone alors que tout lui indique qu'elle va mourrir.
- Un début plat et un film en général mal filmé
- Le truc des frères tueurs c'est déja vu et revu

Non franchement j'ai même pas envie d'en écrire plus tellement je me demande comment on peut produire un tel film, c'est même pas drôle !

Pitch : Kevin Lomacks ( Keanu Reeves ) est le jeune et brillant avocat d’un patelin de Floride. Perspicace, retors, passionné, mais aussi vaniteux, il sacrifie son humanité au profit d’une énième performance au barreau judiciaire, obtenant l’acquittement d’un pédophile notoire. C’est d’ailleurs tandis qu’il fête sa victoire qu’il reçoit une proposition d’embauche alléchante de la part d’un cabinet d’avocats new-yorkais, la Milton Chadwick Waters. Salaire mirobolant, hébergement dans un hôtel cinq étoiles, voiture grâcieusement offerte… Et bien sûr, il devra défendre des accusés indéfendables. Malgré les réticences de sa mère, très religieuse, qui compare NewYork à la Babylone de l’Apocalypse, Kevin accepte l’offre et déménage avec sa femme, Marie-Anne ( Charlize Theron ). L’accueil de John Milton  ( Al Pacino ) est impressionnant et royal, et l’avenir semble ouvrir ses bras au jeune couple qui songe à faire un enfant. Mais tout ne se passe pas comme prévu..

En zentille fille, je ne vous dévoile ni la suite, ni la fin, je vous laisse vous délecter de ce suspens et de la qulité de ce film..Trois acteurs incroyables, un sénario béton et une réalisation efficace, c'est ce qu'il fallait pour faire de ce film, le succès qu'il a mérité .
Incarner le Diable en personne au cinéma n’est pas une affaire facile. L’imagerie qui tourne autour du Tentateur est si vaste qu’on prend le risque de s’y casser les dents à tous les coups. Parker avait déjà fait une belle tentative avec Robert de Niro dans Angelheart, mais une tentative assez discutable. Là, comme par hasard, c’est l’autre monstre sacré du cinéma américain qui s’y colle, Al Pacino. Et force est de constater que dans ce petit duel, c’est ce dernier qui gagne. Adapté du livre d’Andrew Neiderman, le scénario bénéficie déjà d’une excellente idée, celle de situer le mal dans l’univers qui est censé le combattre : la loi. Et bien entendu, à travers les personnages de Kevin  et de John Milton, c’est l’occasion pour le film de dénoncer la perversion de la justice à une époque de plus en plus procédurière. L’image d’une justice droite, humaine et au service de tous est balayée : ici ne règne que l’argent, la malice, le cynisme et la vanité. L’interprétation d’Al Pacino est magistrale, épatante de classe, de ruse, de prestance soyeuse et d’humour noir. A la limite, le rôle du Diable était presque trop étroit pour lui, et on sent qu’il aurait voulu faire encore plus, encore mieux. Keanu Reeves  est bon, tout simplement et parvient à nous convaincre dans son rôle d’avocat aux dents longues, pris dans son désir de réussite et le regrettant amèrement par la suite. Il est surtout très beau dans ce film, le fils du diable n'aurait rien à lui envier !! Charlize Theron est magnifiqueet incarne très bien la jeune mariée délaissée..

Adaptation d'une nouvelle de Stephen King ( que je n'ai pas lue je l'avoue ) ; The Mist est sorti au cinéma il y a quelques semaines. Mais parce que je n'étais pas sure de sa qualité, et que 9 euros ça commence à être cher pour un film qu'on sait même pas si il va être bien .. , j'ai trouvé une autre solution ...

L'histoire repose sur un scénario simple : après un violent orage, une forte brume s'étend sur un petite ville des Etats-unis. Une quarentaine de personnes coincée dans un Monoprix local doit lutter contre des choses étranges qui se trouvent dans le brouillard, mais aussi contre eux mêmes...
Après une demie heure de film, on est dedans ; on fait connaissance avec chaque personnage, on voit leur positionnement mais aussi leurs peurs les plus profondes remonter. Ils vont se rendre compte que cette menace qui est là, dehors, des créatures étranges et mutantes ; mais aussi dedans, certains personnages vont en effet, partir un peu en vrille. Ces deux menaces vont croitre parallèlement jusqu'à ce qu'on se dise qu'on préfèrerait être dehors à jouer au ping pong avec Godzilla. On assiste donc à la fois à un film de genre ( je vais peut être un peu loin ) qui fait (un peu) peur  mais aussi à une critique sociologique visant à dénoncer toutes les sortes de fanatisme.

Les effets spéciaux sont très moyens ( les monstres sont presque risibles ), les acteurs un peu miteux ( surtout le héros ) , le rythme est saccadé et l'accumulation des personnages fait qu'on s'y perd un peu sur le qui est qui . Bref, les personnages sont comme autant d'archétypes qui se laissent aller à des comportements - et des répliques - souvent prévisibles ; tout cela pour servir une leçon que l'on connaît (l'homme est un loup pour l'homme et la peur ne fait généralement qu'attiser l'animal en lui). Très philosophique finalement, mais un peu lourd !

En résumé, je vais lire le livre ...

Pitch : En plein milieu de la nuit, une employée du FBI est enlevée chez elle... Guidés par un ancien prêtre pédophile aux étranges visions, les agents Whitney et Drummy enquêtent. Très vite, leur investigation s'enlise : les indices sont minces et le temps presse. L'agence gouvernementale décide alors de refaire appel à Mulder et Scully. Leur expérience sur ce genre d'affaires sensibles pourrait s'avérer capitale. Mais des années ont passé depuis la fermeture du service des affaires non-résolues. Scully est redevenue médecin et Mulder, en disgrâce auprès du FBI, est introuvable...

Voici le plus croustillant dans ce film : la bande annonce ! Quel déception mes amis, quelle déception ! Je m'attendais à un film sympa et j'étais pressée de trouver Mulder et Scully. Bon finalement, j'ai pas été satisfaite. Le film est nul, les acteurs sont vieillissants ( désolée mais Mulder, sex symbol des années 90 sur qui beaucoup de jeunes filles de l'époque ont fantasmé n'est plus aussi sexy ; pire il a fait un lifting !!! ).
Bref, scénario nul, film mou, incohérences, pas l'ombre d'une histoire paranormale, une histoire d'amour à l'eau de rose à propos de laquelle il nous manque des (gros) éléments. Ce film n'apporte strictement rien. On se rapproche davantage du téléfilm un peu pourave de l'après-midi sur la six que d'un X-files ! Même pas à la hauteur des pires épisodes de la série !

Du coup, je vais me venger sur la saison 5 que je viens de finir de télécharger.

Pitch : Trois ans après le massacre de sa famille par un dangereux psychopathe, Donna a enfin repris une existence normale et se prépare à vivre la soirée la plus importante de l'année : le bal de promo du lycée. Ce qu'elle ignore, c'est que Richard Fenton, le tueur, s'est échappé de l'asile pour la retrouver... Le détective Winn se lance à sa poursuite pour éviter le pire, mais Fenton a de l'avance...

La encore un remake d'un film des années 70 ( décidémment ! ) rafraîchit avec des jeunes de notre époque et des robes ( magnifiques d'ailleurs) un peu plus actuelles.

Biensûr vous avez affaire ici à  la blonde torturée par la vie ( mode Scream ), le couple de blacks ( pour une fois, ils meurent pas en premier ) et les beaux ( mais idiots ) joueurs de football américains.
Alors oui, c'est américain, plein de clichés et des répliques dignes de Feux de l'amour . On retrouve aussi tous les bon vieux systèmes des films d'horreur : le coup de la copine qui fait peur avec la grosse musique, la gourdasse qui monte voir le bruit au lieu de se casser en courant ..
Mais c'est assez bien fait finalement, et on se prend au jeu, et en fait le temps passe très vite. En un mot, un film qui ne révolutionne pas le genre mais qui se laisse regarder, divertissant.

Films commençant par 1, 2, 3, ...

-28 semaines plus tard

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-American Psycho

-American Psycho 2

-Amytiville : la maison du diable ( 1975 )

-Amytiville : the Horror

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-Blair Witch Project

-Blair Witch 2

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-Chambre 1408

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-Damien : la malédiction ( 2006 )

-Dark Water

-Dead Silence

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-Destination finale 2

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-Fragile

-Freddy 3 : les griffes du cauchemar

-Frontière (s)

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-Halloween 2007

-Hannibal Rising

-Hard Candy

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-Jeepers Creepers 1

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- Je suis une légende

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-La colline a des yeux

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-Massacre à la tronconneuse : le commencement

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-Souviens-toi l'été dernier

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-The Grudge 2

-The Hitcher ( 2007 )

-Trouble Jeu

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-Urban Legend 2

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-Vendredi 13 III : Meurtres en 3Dimensions

-Vendredi 13 IV : Chapitre final

-Vendredi 13 V :  nouveau départ

-Vendredi 13 VI : Jason le mort vivant

-Vendredi 13 VII : Un nouveau défi

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-Wolf Creek


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Je suis une Légende (titre original I am Legend) est un roman de science fiction de l'auteur américain Richard Matherson paru en 1954, adapté au cinéma en 1971 dans Le survivant, en 1964 et en 2007 sous le titre initial. Ce livre a inspiré nombre de films et de réalisateur dont le fameux Roméro pour la série des morts vivants, et on se doit aussi de penser à 28 jours plus tard.

Le pitch : Robert Neville était un savant de haut niveau et de réputation mondiale, mais il en aurait fallu plus pour stopper les ravages de cet incurable et terrifiant virus d'origine humaine. Mystérieusement immunisé contre le mal, Neville est aujourd'hui le dernier homme à hanter les ruines de New York. Peut-être le dernier homme sur Terre... Depuis trois ans, il diffuse chaque jour des messages radio dans le fol espoir de trouver d'autres survivants. Nul n'a encore répondu.Mais Neville n'est pas seul. Des mutants, victimes de cette peste moderne - on les appelle les "Infectés" - rôdent dans les ténèbres... observent ses moindres gestes, guettent sa première erreur. Devenu l'ultime espoir de l'humanité, Neville se consacre tout entier à sa mission : venir à bout du virus, en annuler les terribles effets en se servant de son propre sang.Ses innombrables ennemis lui en laisseront-ils le temps ? Le compte à rebours touche à sa fin...

Will Smith porte à tout seul ce film sur ses épaules étant donné qu'il en est ( presque ) le seul personnage. Il s'en sort moyennement je dois l'avouer , il n'a pas assez de charisme pour vraiment se détacher de cette ambiance pesante ; par contre le chien, lui s'en sort bien :) ! D'ailleurs, suis-je la seule tordue à avoir vu leur " relation" comme certes sympa et mignonne, un peu déviante sur les bords ? On se demande quel rapport à Bob Marley avec le film ; on se demande l'utilité du récit de la scène de Shrek ..
Les flashbacks sont décidémment incontournables ( ben oui il faut bien expliquer au téléspectateur neuneu ce qui est arrivé ), sont un peu trop bourrés de bons sentiments : on n'échappe pas aux déferlantes hollywoodiennes : déferlantes émotionnelles classiques ; amour familial d'abord, conscience patriotique ensuite.

Malgré tout, l'ambiance de vide est bien rendue, New-york est magnifique, même vidée de tous ces habitants. On est admiratif devant cette ville qui n'a pas évolué, où tout est resté figé depuis trois ans. Très peu d'action dans ce film, les confrontations aux infectées sont toujours les mêmes. D'ailleurs, parlons en des infectés : si la première scène où ils apparaissent n'est pas si mal ( rapelle un peu Silent hill ), le reste est risible : ils ne font pas peur une seconde. Et puis, ils n'ont pas du tout le gueule de vampires !  En fait, le plupart du film est attendue ; on sait que son chien va mourir, on sait qu'il va se sacrifier à la fin comme un super héros américain.

En bref, Je suis une légende est un film pop-corn qui ne fait pas peur, qui traite plutôt de la solitude d'un homme parmi les monstres ; il n'apporte pas grand chose, mais que voulez-vous ; l'apocalypse est à la mode ! Prochain film ciné : Phénomènes de M Night Shamalan